

Merle noir
(Turdus merula)
L’un de nos meilleurs chanteurs, le merle se rencontre aussi bien en ville qu’en pleine campagne. Très souvent c’est son chant qui nous réveille aux aurores. Ses sonorités flûtées sont reconnaissables entre mille.

Grive musicienne
(Turdus philomelos)
Comme son nom l’indique, elle fait également partie de nos grands musiciens. Son chant, fait de strophes répétées deux ou trois fois, résonnent dans les forêt dès le mois de février. Ici nous somme en montagne et c’est encore l’hiver.

Grive draine
(Turdus viscivorus)
Cousine de la musicienne c’est la plus grande des grives. Elle a un chant assez flûté, proche de celui du merle mais avec un phrasé plus trainant. C’est un peu la grive mélancolique de nos forêts.

Rossignol
(Luscinia megarhynchos)
Faut-il encore présenter l’un de nos plus illustre chanteur. Le rossignol est un chanteur nocturne, l’un des rares à faire entendre son chant dans le silence de la nuit. Mais jamais fatigué de chanter, il se permet des sessions diurnes. Son chant est une succession de strophes dont il modifie l’ordre selon son inspiration du moment.

Rougegorge
(Erithacus rubecula)
Le rougegorge possède un chant liquide, peu sonore et aux notes très subtiles. Ses phrases sont teintées de tristesses, de regrets. Il a pourtant un caractère bien trempé. Querelleur, il défend son territoire d’arrache-bec. Ici, il est perché au sommet d’un arbre et semble signaler sa position à autrui.