J’ai promené mes microphones au gré du courant de la Besbre, torrent de la montagne Bourbonnaise. Ces prises sous l’eau, n’ont fait l’objet d’aucuns traitements particuliers. J’ai opéré un montage et un filtrage discret afin de laisser toute la place à l’improvisation musicale des ces eaux tumultueuses.
